Mokazz et Victor Janvier viennent réchauffer ton mois de mai.
Crédits photo Léo Colman
Mokazz invite Victor Janvier pour une release party ce vendredi 9 mai 2025, à 21h, au Taquin.
Une soirée où les frontières entre hip-hop alternatif, chanson expérimentale et électro se dissolvent dans une brume onirique.
Il paraît que certaines nuits, la lune descend sur Terre pour écouter du jazz électronique dans des sous-sols moites. Elle se pose dans un coin, commande une verveine, et laisse son croissant luire doucement au rythme d’une MPC. Ce soir, soyez assurés qu’elle choisira le Taquin pour la release party de Mokazz. Et franchement, on la comprendra.
Mokazz, ce n’est pas juste un blaze sucré qu’on imaginerait tatoué sur une tablette de chocolat turque, c’est un quatuor toulousain qui marie l’organique et le synthétique avec une élégance rare. C’est un ballade où les paysages sonores se tissent d’autotune. Leur musique oscille entre désillusion et catharsis, une quête d’espoir dans un monde en perpétuelle mutation. Une architecture de brumes sonores qui vient de sortir son nouvel EP.
En ouverture, Victor Janvier, artiste toulousain aux multiples facettes, dévoilera son univers mêlant productions digitales, improvisations à la trompette et paroles introspectives. Son style, c’est une voix suspendue dans un bain tiède d’autotune, un cœur synthétique qui bat au milieu d’une tempête douce. Il arrive avec ses chansons à fleur de vertige, entre mélancolie élégante et groove bancal.
Il ne fait pas la première partie : il ouvre un sas de décompression. Il prépare le terrain. Il plante des graines de coton.
La soirée promet une traversée sensorielle. Visuels mouvants, basses tendres, beats mutants – rien ne sera figé, tout flottera. Et qui sait, peut-être que des plantes pousseront dans vos chaussettes, que vous danserez à reculons, ou que vous rencontrerez votre moi du futur, celui qui s’est mis à la harpe.
Prenez vos préventes, préchauffez vos tympans, et laissez tomber vos certitudes dans un sac à dos. Mokazz s’occupe du reste
