Ino Casablanca vient faire vibrer Toulouse avec EXTASIA
Crédits photo @fidolo_
Nous parlions de son projet TAMARA en janvier dernier, et voilà qu’Ino Casablanca a dévoilé en octobre « EXTASIA », un projet qui confirme sa singularité, à la croisée du rap, du raï et des sonorités électroniques.
Ino tisse dans sa musique une identité mouvante, mêlant notamment le Maroc, l’Espagne et la France, à l’image de ses influences multiples et de son énergie libre. Avec « EXTASIA », il signe un projet frénétique, pensé comme une célébration du mouvement, de la fête et de la pluralité culturelle.
En dix titres, Ino Casablanca explore un territoire hybride où différents rythmes et sonorités se rencontrent. On passe d’une transe introspective à une explosion de groove avec une aisance rare. Les morceaux DIMA RAVE ENCORE, MOULA SOLITUDE ou encore EXTAZ témoignent de cette liberté totale. La collaboration avec l’artiste LinLin sur BLICKY ajoute une touche lumineuse à un projet traversé par la recherche d’extase.
L’imagerie d’EXTASIA prolonge cette esthétique : visuels saturés de lumière et de couleurs vives, mais aussi les clips de BISSAP DU 20EME et DIMA RAVE, festifs, mouvementés, contrastés, passant du très coloré au noir et blanc. Ces deux clips semblent se répondre, dans une continuité narrative à la façon d’un storytelling, ponctué d’indices visuels et sonores. Ino Casablanca soigne chaque détail pour offrir une expérience complète.
Cette énergie, il la porte en tournée nationale depuis mi-octobre, et la ramènera chez lui dans la ville rose, le 1er novembre au Metronum. Un concert très attendu où le public pourra vivre toute l’intensité d’EXTASIA en live.
Avec EXTASIA, Ino Casablanca confirme qu’il appartient à cette génération d’artistes qui refusent les frontières, rassemblent et mettent en lumière leurs influences culturelles à travers leur art. Sa musique, à l’image de son parcours, traverse les genres musicaux pour créer des sons uniques et vibrants. Le 1er novembre, Toulouse dansera au rythme d’un artiste qui transforme l’exil en extase.
