Mîrkut, le rock psychédelique kurde, mais Toulousain.

Crédits photo Célina Filgueiras

Mîrkut est un jeune groupe Toulousain qui vient de sortir son premier clip “Kevokim” à la délicieuse colorimétrie jaune. Vous le savez, c’est la couleur favorite d’Opus, on ne pouvait pas passer à côté.

Mîrkut est le fruit des rencontres des scènes ouvertes de musique kurde à la Maison-Blanche à Toulouse. Ça brasse un mélange éclectique d’influences et d’instruments avec un Saz électrique de la culture Kurde, une basse et une batterie qui groovent la musique Chaâbi, le Ney qui ramène de la musique Orientale-Egyptienne, du clavier-synthé qui s’inspire des chansons françaises et des rythmiques funk.

Leur répertoire se nourrit de morceau modernes et traditionnels et nous emmène voyager de manière anachronique au temps des chants Kurdes, populaires et festifs par leur un rock-psychédélique chatoyant.


Mîrkut, en français ça veut dire “pilon/ mortier”. En général, on s’en sert pour transformer une matière et en faire un autre par le biais de mouvement répétitifs. Le groupe réussit son pari en transformant le froid de décembre en ondes estivales joyeuses et colorées qui viennent remettre du roses au joues des toulousains.


C’est sur scène qu’on a rencontré Baboüe, accompagnée de son crew de Fine Asses.
Une artiste complète qui chante, gratte des cordes, dessine. Passionnée de découvertes, la solaire Baboucan troque son ukulélé pour un stylo pour vous partager ses coups de cœurs musicaux !